
« Les États-Unis veulent commencer une guerre mondiale » : Le président vénézuélien Nicolas Maduro

Depuis quelques temps, les parts sociales des banques coopératives sont proposées à la vente en tant que placement financier. C’est une opération contre-nature menée dans l’urgence pour faire face aux considérables pertes financières. Il faut augmenter les fonds propres pour respecter les ratios de garantie et c’était la seule solution.
Les sociétés anonymes appartiennent à des actionnaires qui possèdent des actions. C’est le cas des banques commerciales. Ce sont des sociétés de capitaux.
Les sociétés coopératives appartiennent à des sociétaires qui détiennent une ou des parts sociales. C’est le cas des banques dites « mutualistes ». Ce sont des sociétés de personnes.
Dans une société anonyme, plus on a d’actions, plus on a de pouvoir. Avoir la moitié des actions plus une, c’est avoir le pouvoir de décision, la capacité de gérer l’entreprise. Avoir le 1/3 des actions c’est avoir une minorité de blocage et donc, déjà, un réel pouvoir. En pratique, dans une grosse structure, il suffit d’être « le plus gros » pour diriger. D’être majoritaire ou dans un pacte majoritaire.
Si la gestion se révèle très performante, avoir beaucoup d’actions c’est devenir riche. La valeur de chaque action augmente, éventuellement grimpe en flèche, et les dividendes pleuvent. Jackpot.
C’est une logique : bien gérer pour gagner beaucoup. Un capitalisme vertueux.
Dans une société coopérative, il suffit d’avoir une part sociale pour avoir le même pouvoir que chacun des autres associés. C’est la logique « un homme, une voix ».
Les buts de l’entreprise son cadrés par l’article 1 de la loi fondamentale du 10 septembre 1947. Et éclairés par la charte de l’A.C.I. (Alliance Coopérative Internationale).
La finalité est celle du service maximum pour le coût minimum. Dépenser moins pour vivre mieux et vivre « citoyen » : la société coopérative ne cherche pas le profit. La notion de profit lui est même antagoniste.
Les parts sociales font de leur détenteur un co-propriétaire de l’entreprise avec le droit et le devoir de participer à sa gestion dans l’intérêt de tous. Pour que chacun profite de façon égalitaire, de l’activité, conformément au barème voté qui s’applique à tous.
Telle est la logique des banques coopératives et c’est en cela qu’elles constituent une solution alternative par rapport aux banques commerciales.
Dans une banque coopérative, le but est de vendre le minimum de « produits » aux clients-sociétaires. Et surtout pas des choses inutiles ou à l’intérêt illusoire. Et toujours au moindre coût. Intéresser les salariés à la vente est, dans ce contexte, une perversion.
Les parts sociales sont essentielles pour la coopérative puisqu’elles permettent de constituer un capital social. Ainsi les sociétaires, à travers leur entreprise coopérative, ont les moyens d’agir.
Mais les parts sociales sont une mauvaise affaire pour qui cherche un placement profitable. Forcément une mauvaise affaire…
Elles ne sont pas négociables et ne vaudront jamais plus que leur valeur nominale : en période d’inflation, elles « fondent au soleil ».
Elles ne sont pas « liquides » : leur remboursement est soumis à conditions et, si elles sont finalement rachetées par la coopérative, après accord du conseil d’administration, leur règlement peut, selon les cas, attendre jusqu’à cinq ans. Seul ¼ du capital social est remboursable, le reste est définitivement bloqué. Le remboursement des parts, s’il est possible, ne peut s’effectuer que dans cette fourchette.
Elles ont vocation à supporter les pertes de la coopérative : elles ne vaudront jamais plus que leur prix d’émission mais peuvent ne plus rien valoir. Pire (ou mieux) : en fonction des statuts, le propriétaire d’une parts sociale peut être engagé à hauteur de 2 à 5 fois la valeur de cette part (20 fois dans certains cas).
En cas de faillite, il devra alors abonder – trouver l’argent pour combler le trou – pour plusieurs fois le montant de son « placement » et il est vérifié que l’acheteur de parts sociales a rarement connaissance des statuts.
Enfin, les parts sociales ne sont pas un bon placement pour une raison simple et évidente : elles peuvent ne comporter aucune rémunération. Rien ne peut être garanti.
C’est dans la logique de leur existence et il n’y a rien à redire : faire l’acquisition de parts sociales est un acte militant.
La rémunération dépend d’abord, bien entendu, des résultats de la société. Ensuite, elle est décidée par l’Assemblée Générale mais, dans tous les cas, plafonnée par l’article 14 de la loi du 10 septembre 1947 portant statut de la coopération, jamais supérieure au taux moyen de rendement des obligations des sociétés privées (TMO).
En clair, la rémunération des parts sociales peut être nulle ou faible mais n’est jamais très élevée. Elle n’est envisagée qu’après augmentation des réserves impartageables et distribution (alors partielle) des excédents.
L’utilité des parts sociales, c’est de donner accès au fonctionnement de l’entreprise et donc à la redistribution des excédents, toujours prioritaire.
La redistribution est proportionnelle, pour chacun, à la hauteur de son activité avec la caisse, c’est une « ristourne », un retour. Pour en bénéficier, il suffit de détenir une part sociale, inutile d’en avoir un stock. La redistribution des excédents rend le profit à ceux qui l’ont généré et évite toute spéculation.
Prenons l’exemple du Crédit Agricole Mutuel : les parts sociales d’une caisse locale viennent en garantie des pertes éventuelles de la caisse régionale, qui est une filiale des caisses locales. Et les caisses régionales sont liées entre elles par un pacte de garantie. C’est ainsi qu’elles ont pris en charge les pertes de la caisse corse de Crédit Agricole Mutuel lors d’une incroyable escroquerie (toujours pas jugée, l’instruction est en cours depuis 20 ans).
Les caisses régionales de Crédit Agricole Mutuel sont par ailleurs propriétaires de 54% de Casa, la société cotée en bourse (appelée « véhicule coté » …). Elles sont en première lignes pour éponger les pertes, par exemple en Grèce. En cas de sortie de l’Euro de ce pays, les pertes seront immenses et les parts sociales des caisses locales serviront à boucher les trous. Les parts sociales risquent de ne plus être remboursables. Au passage, il faut signaler que l’idée même de mélanger la logique d’une coopérative et celle du CAC 40 est une aberration. On ne peut plus parler des valeurs !
L’idée de « vendre de la part sociale » vient de loin. Il y a trente ans, j’avais mené une très longue enquête sur la CFCMO et FONDEV. Un incroyable polar, j’y reviendrai.
Actuellement, la commercialisation (!) des parts sociales dans les banques coopératives (comme celle des actions Natixis il y a quelques années) s’apparente à de la « vente forcée ». Il y a le feu et il faut faire grossir le capital social dans l’urgence. Ceci pour pouvoir invoquer « les particularités du modèle français », garantie de la solidité invoquée de notre réalité bancaire nationale et seule justification à la captation. Un peu court. Faut-il parler d’arnaque ? Pour le moins de flou et de manque d’information, d’ambiguité.
Source : MediaPart |08 juin 2012 | Par Patrick Le Cellier
La France est en train de perdre pied, elle vient de basculer de l’autre côté de la courbe de Laffer : les augmentations d’impôts non seulement ne rapportent rien, mais on constate même une baisse des rentrées fiscales. L’économiste américain Arthur Laffer (né en 1940) est devenu célèbre pour avoir modélisé ce phénomène : lorsque les impôts et les taxes sont déjà élevés, leur augmentation conduit à une baisse des recettes fiscales parce que les agents économiques surtaxés sont incités à moins travailler (ou à augmenter leur recours au travail au noir). Illustration concrète, les 30 milliards de taxes et impôts votées par le gouvernement de François Hollande n’ont servi à rien, on n’en voit pas trace ! Si l’impôt sur le revenu progresse un peu, les recettes de TVA baissent, de même les taxes sur l’essence et l’impôt sur les sociétés. Au final les recettes fiscales s’affichent en retrait par rapport à l’année précédente.
Le pire c’est que le ministère des finances ne s’explique pas cette déconvenue car selon ses calculs la stagnation de l’économie ne suffit pas à expliquer cette baisse des rentrées fiscales : sur les quatre premiers mois de 2013, les recettes de TVA reculent de 2,3% par rapport à la même période de l’année dernière alors que, selon lui, la consommation a stagné. On en déduira plutôt que les modèles économiques utilisés ne sont pas au point et que la récession s’avère plus forte que prévue. La consommation, le dernier moteur de l’économie française (largement alimenté par la dette publique), recule certainement plus que ne le mesurent les statistiques officielles.
Ces chiffres sont inquiétants. Rappelons-nous que lors du déclenchement de la crise de la dette en Grèce chacun moquait l’inefficacité des services fiscaux grecs, « ce n’est pas en France qu’on verrait ça ! » entendait-on et, effectivement, le fisc français est réputé pour sa capacité à lever l’impôt, et cela constitue l’un des points forts du pays pour les investisseurs internationaux. Cet atout vient de tomber.
Peut-on seulement espérer que cela produise un électrochoc et amène le gouvernement à mettre en place des réformes structurelles ? Même pas, la classe politique française, à gauche comme à droite, est droguée à la dépense publique. On peut même craindre de nouvelles augmentations d’impôts !
La conséquence de ce dérapage est claire : la France ne tiendra pas son objectif de déficit public à la fin de l’année. Pire, le déséquilibre du budget de l’Etat augmentera par rapport à 2012. Les marchés ne vont pas aimer, et la dette française risque de perdre son statut d’investissement privilégié qu’il possède encore.
Le changement risque d’être brutal car la France fait figure de pays charnière entre l’Europe du Nord, vertueuse, et celle du Sud, plus laxiste. Jusqu’ici la fiction, entretenue par les gouvernements et acceptée par les marchés, plaçait la France du bon côté. Un dérapage massif des comptes publics, comme il semble se préparer, va ramener sur terre ceux qui se faisaient des illusions. C’est toute la zone euro qui tremblera alors.
Source : 24hGold
LE MONDE | 24.07.2013 à 11h59 • Mis à jour le 30.07.2013 à 09h59 | Par Jérémie Baruch et Jean-Baptiste Chastand
Les données des Urssafs montrent ainsi que le quart nord-est de la France a nettement plus perdu d’emplois que l’arc qui va de la Bretagne aux Alpes. Alors que les régions fortement industrielles du Nord-Pas-de-Calais, de la Picardie, de la Lorraine ou de Champagne-Ardenne font figure de grandes perdantes, des zones entières de la façade atlantique et méditerranéenne ont de leur côté continué à créer des emplois. Néanmoins, le chômage a pu y augmenter, puisque les créations d’emplois peuvent ne pas suffire à compenser la hausse de la population active dans ces zones où la démographie reste très dynamique en raison des flux migratoires.
Les métropoles de l’Ouest ont particulièrement continué à créer des emplois avec une hausse de près de 5 % à Toulouse, 3,4 % à Nantes ou 3,2 % à Bordeaux. Les grandes villes affichent globalement des résultats plutôt positifs, même si les créations ont été moins fortes à Lyon, Lille ou Marseille.
Lire aussi Les chiffres du chômage : mode d’emploi
La Corse compte les six zones aux progressions les plus fortes, même si le taux de chômage y reste élevé. Par ailleurs, des bassins d’emploi très dynamiques, comme Vitré (Ille-et-Vilaine) – 5,9 % de chômage fin 2012 –, ont continué à créer de nombreux emplois. Dans une très mauvaise situation avec près de 12, % de chômeurs et plus de 10 % d’emplois détruits en quatre ans, Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne) fait figure d’exception dans une zone géographique relativement préservée qui recoupe l’ouest et le sud-ouest de la France.
Mais les créations d’emplois n’empêchent pas forcément l’explosion du chômage. Le Languedoc-Roussillon, touché par un chômage endémique (14,5 %), compte de nombreuses zones qui ont moins détruit d’emplois que le reste de la France et qui en ont parfois même créé, à l’image d’Arles, Perpignan, Narbonne, Béziers ou Sète.
GRANDE PERDANTE
Si la moitié des zones ont perdu plus de 3,2 % d’emplois, seize d’entre elles ont particulièrement souffert de la crise avec des pertes supérieures à 10 % en quatre ans. Les zones qui affichent les plus fortes baisses ne figurent pas forcément dans celles au chômage le plus élevé. Nemours et Saint-Claude affichent les deux plus grosses pertes d’emplois (respectivement – 14 % et – 12,6 %), alors qu’elles ont l’un des taux de chômage les plus faibles de France. D’autres zones qui affichent aussi des taux de chômage très faibles, autour de 6 % fin 2012, ont davantage souffert que la moyenne, comme Rambouillet (– 9,4 % d’emplois), Molsheim (– 4,7 %), Versailles (– 4,2 %).
De fait, les zones qui ont perdu le plus d’emplois sont surtout celles où l’industrie joue un rôle important, comme la vallée de l’Arve dans la région de Chamonix (Haute-Savoie), Longwy et Remiremont en Lorraine. La petite zone d’emploi fortement industrielle de Tergnier (Aisne) affiche l’un des plus mauvais résultats, avec 16,2 % de chômage en 2012 et 10,75 % d’emplois détruits en quatre ans. Calais (Pas-de-Calais) est également dans une situation extrêmement difficile, avec 9,6 % d’emplois perdus en quatre ans et un taux de chômage qui culmine à 17,8 % fin 2012.
Sur les vingt zones d’emploi au taux de chômage le plus élevé fin 2012, douze ont détruit plus d’emplois que la moyenne en quatre ans. Des zones entières du Nord-Pas-de-Calais, comme Boulogne-sur-Mer, Roubaix, Maubeuge ou Valenciennes, ont ainsi plus fortement souffert de la crise, alors qu’elles affichaient déjà des taux de chômage élevés. De quoi faire de cette région, malgré l’exception lilloise, la grande perdante de la crise.
Les ZUS plus fortement touchées par le chômage
Au milieu du marasme économique national, la situation des zones urbaines sensibles (ZUS) est plus particulièrement catastrophique. Le taux de chômage y a atteint 23,1 % au quatrième trimestre 2012, contre 10,1 % de moyenne nationale – un écart de 13 points alors qu’il n’était que de 9 points en 2008.
Surtout, ces territoires urbains, déjà fragilisés avant la crise, ont été frappés par les quatre années de ralentissement économique. Ils ont été touchés à la fois plus durement et plus rapidement. Les données de l’Observatoire national des ZUS (Onzus) montrent que le taux de chômage hors ZUS est resté stable, autour de 9,5 %, entre 2009 et 2011. Dans le même temps, il augmentait de près de 4 points dans les ZUS.
Comment expliquer ce décalage ? Le manque de qualification des jeunes dans ces zones a pu jouer. Le taux de chômage des moins de 25 ans dépasse les 40 % dans les ZUS, contre 26 % au niveau national. Les difficultés des jeunes à décrocher un emploi lorsqu’ils sont issus de ces zones sont également établies. Face à ce constat, le gouvernement a tenté d’orienter plus spécifiquement ses mesures de politique de l’emploi sur ces jeunes, qui font le gros des entrées à Pôle emploi.
Un tiers des emplois d’avenir est normalement réservé aux jeunes de ZUS, pour lesquels une exemption permet même l’embauche de diplômés, alors que le dispositif est réservé aux non-diplômés pour les autres territoires. Malgré cela, le dispositif ne décolle toujours pas dans les ZUS. Seuls 15 % des emplois d’avenir signés jusqu’ici concernent des jeunes de ZUS. Et des départements très pauvres, comme la Seine-Saint-Denis font figure de lanterne rouge.
Source : Le Monde
Communiqué de Valeurs Actuelles :
« Le Parti Socialiste, par la voix de son porte-parole, Monsieur David Assouline, a accusé la couverture du numéro de Valeurs actuelles titrée « Roms l’overdose » de ce jeudi 22 août d’être« antirépublicaine ». La rédaction de Valeurs actuelles, par la voix de son directeur général, Yves de Kerdrel, exprime son indignation contre cette attaque diffamatoire, infondée, qui relève de l’intimidation et de la calomnie. Valeurs actuelles se réserve ainsi le droit de mener une action en justice..
Ce numéro montre, notamment à travers un sondage réalisé selon la méthode des quotas par l’institut Harris Interactive (auprès d’un échantillon de 1 895 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus) qu’une grande majorité des Français (86%), y compris des électeurs de gauche (74%), est radicalement opposée aux occupations illégales de terrains par les Roms. Ce dossier vise à désigner un problème de fond que le gouvernement est incapable de gérer, et non à stigmatiser une population qui subit l’impéritie de certains hommes politiques. Yves de Kerdrel appelle les responsables du Parti Socialiste à plus de retenue dans leurs propos, et à respecter la liberté et le pluralisme de la presse, indispensable au débat démocratique. Valeurs actuelles, créé il y a près d’un demi-siècle par Raymond Bourgine, est un journal républicain, qui défend avec force les principes fondateurs de notre démocratie. »
Ainsi fonctionne l’idéologue : quand il fait trop chaud, il brise le thermomètre.
Source : Le Salon Beige
Pour ceux qui avaient encore des doutes en ce qui a trait aux contacts extra-terrestres avec nos anciennes civilisations, cette fois, on ne peut plus clairs! Le gouvernement mexicain a frappé un grand coup dans l’histoire cachée de l’humanité. Dans la section archéologie oubliée, le pays dévoilera publiquement une série de pièces Mayas découvertes il y environ 80 ans par une équipe du National Institute of Anthropoly and History (INAH) sur le site de Calakmul au Mexique.
Ces pièces exceptionnelles ont déjà été présentées l’an dernier et feront l’objet d’un documentaire qui sortira cet automne et qui sera produit par Raul Julia-Levy et réalisé par Juan Carlos Rulfo, le gagnant du festival Sundance 2006 avec son film « In the pit ». Ce documentaire porte le nom provisoire « Revelations of the Mayans 2012 and beyond ».
L’une des pièces maîtresses dévoilées est un disque on ne peut plus explicite. On peut y voir clairement 4 engins, communément appelés OVNI, dont l’une démontre par une extraction, un astronaute (5) aux commandes de son engin (6). Les deux cercles au centre (1) sont présentement considérés comme une planète à atmosphère de par les deux cercles le suggérant et qu’on peut supposer être la Terre du fait de la présence d’un astre à proximité qui semble être la Lune. À droite, ce qui semble être une comète (3) avec un OVNI (2) dans son sillage, puis, à gauche, un autre engin (4) qui semble intervenir directement sur la comète comme porteur d’un bélier pour frapper la comète.
Une autre pièce fort intrigante semble représenter une éruption solaire. Le soleil envoie un jet de rayon vers la même planète à atmosphère, soit la Terre, événement régulièrement mesuré par la NASA dont vous pouvez suivre l’activité sur le site Space Weather. Trois Ovnis sont présents sur cet artefact dont l’un est directement dans le jet plasmique. Une autre planète est également présente, mais il est difficile de préciser laquelle de notre système solaire.
Cette pièce fort importante semble confirmer les informations que nous recevons par diverses canalisations et qui nous informent du rôle majeur du soleil dans les événements à venir . Celui-ci est la clé de notre élévation de conscience et cet artefact vieux de 1,300 ans semble nous l’indiquer. Les Maya savaient que nous étions dans le 5e et dernier cycle de 5125 ans d’un plus grand cycle de 26,000 ans. C’est ce que leurs calendriers mesuraient. Par ailleurs, les scientifiques de la NASA prévoient une éruption majeure d’ici la fin de 2013 ce qui corrobore l’ensemble des informations obtenues
Klauss Dona accompagné du Dr Nassim Haramein ont présenté des photographies de certaines pièces lors d’une conférence au Congresshalle à Saarbrücken en Allemagne, le 11 juin 2011. Vous trouverez au bas de cet article la référence aux extraits de cette conférence.
Les autres pièces sont des représentations qui ressemblent étrangement aux petits bonshommes E.T. que nous connaissons.
Ce qui est encore plus troublant sont les révélations du ministre du Tourisme mexicain, Luis Augusto Garcia Rosado qui déclare que :
1) La traduction de codex relate les contacts entre les extra-terrestres et le peuple Maya.
2) Des pistes d’atterrissage daté à 3,000 ans ont été trouvées dans la jungle.
3) Ils possèdent des preuves que les Mayas avaient l’intention de mener cette planète pour des milliers d’années, mais qu’ils ont été forcés de s’échapper après une invasion « d’êtres aux sombres intensions » laissant derrière eux les évidences d’une race hautement avancée.
Je crois qu’à l’approche de la date de fin de cycle du calendrier maya, les autorités mexicaines semblent avoir fait un examen de conscience dont le résultat a été d’informer le public. Je crois également qu’il s’agit du bon choix et que celui-ci devrait servir d’exemple pour les autres nations, je pense, entre autres, aux États-Unis où un changement d’attitude important s’impose.
N’oubliez pas que nous sommes à la période des révélations où tout ce qui était caché se dévoile. Les scandales de tout sort au même titre que l’archéologie cachée font partie de ce grand dévoilement. Si vous me demandez mon avis, je vous dirai que nous n’en sommes qu’au début des surprises de cette magnifique période qui s’ouvre à nous. Pour ceux dont ce dévoilement est un véritable choc, je vous implore d’ouvrir votre conscience, car vous n’êtes pas au bout de vos découvertes.
Article publié le 27 aout 2012
Références
Sources :
http://www.rtbf.be/info/medias/detail_un-documentaire-va-prouver-les-contacts-entre-mayas-et-extraterrestres?id=6837553
http://www.guardian.co.uk/film/2011/sep/29/mayan-documentary-alien-mexico
http://www.reuters.com/article/2011/09/26/idUS333894436320110926
http://www.thewrap.com/movies/column-post/guatemala-cooperate-doc-about-mayans-and-aliens-31162
Dr. Nassim Haramein: http://theresonanceproject.org/about/personnel/nassim-haramein
À propos de Klauss Dona : Voir mon article : http://inferenceplanetaire.wordpress.com/2012/01/29/les-pyramides-antiques-dans-le-monde/
Conférence de présentation, lien vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=glV-C7fqAX8&feature=player_embedded http://www.youtube.com/watch?v=EpHTMoPAil4&feature=player_embedded
Site de Calakmul (ou Kalakmul) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Calakmul
INAH : http://www.inah.gob.mx/index.php/home
http://indicescibles.blogspot.fr
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Sources : Les Chroniques d’Acturius et Direct.cd
Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie
Les révélations sur les pratiques d’espionnage de la NSA continuent à alimenter la presse américaine. L’agence de sécurité nationale a la capacité de surveiller 75% du trafic internet aux Etats-Unis, selon les informations révélées par d’anciens et d’actuels responsables au Wall Street Journal. L’agence avait indiqué auparavant qu’elle avait accès à 1,6% des données circulant sur l’internet dans le monde, et qu’elle n’en surveillait que 0,00004%.
Non seulement la NSA espionne la toile américaine et européenne, mais elle peut conserver le contenu de certains emails envoyés par des ressortissants américains. Les appels locaux passés par internet sont aussi filtrés, tout cela avec l’aide des opérateurs télécoms, tels que AT&T et Verizon. Le Wall Street Journal ajoute que l’organisme de surveillance est en mesure d’intercepter pratiquement toutes les informations sur la toile dès lors qu’elle dispose d’un mandat signé par un juge.
Voir l’article original 108 mots de plus
Par Marie-Pierre Haddad – publié le 22/08/2013 à 16:11, mis à jour à 18:30
Passer son permis de conduire coûte deux fois plus cher à Paris qu’à Lille. C’est la conclusion d’une étude concernant le coût du permis de conduire publiée ce jeudi 22 août par l’association Consommation, logement et cadre de vie (CLCV). Cette étude dénonce d’énormes écarts de prix pratiqués par les auto-écoles.
Les tarifs appliqués dans les auto-écoles sont libres. Néanmoins, l’arrêté du 19 juin 1987 les oblige à afficher leur prix de manière visible à l’intérieur et surtout à l’extérieur du magasin. L’association estime que 13,12% des auto-écoles n’affichent pas leur prix. En cas de respect de l’arrêté, l’affichage de ce prix « est réduit à son minimum, car il ne comporte pas les différents frais administratifs », explique la CLCV. Un tiers des auto-écoles sont dans ce cas. « On peut certes supposer que l’information tarifaire est disponible à l’intérieur de l’auto-école, mais confronté au discours commercial rodé du professionnel, le consommateur risque de perdre le bénéfice d’un achat réfléchi », analyse l’étude.
Autre point mis en avant par la CLCV: le coût moyen du forfait de 20 heures qui permet de présenter l’examen, varie du simple au double selon l’endroit de l’inscription. A Paris, un forfait à 20 heures pourra être facturé 1.425 euros, contre 780 euros à Lille. Le coût moyen du forfait dans toute la France est de 1.067 euros.
Selon Patrice Bessone, président national du syndicat CNPA, métiers des formations des conducteurs, la différence de prix entre Paris et les autres villes s’expliquent surtout par le coût du niveau de vie. « La location des locaux à Paris coûte plus chère. Les salaires sont aussi plus élevés, tout simplement parce que le coût de la vie au sein de la capitale est plus important ».
>> VIDEO: La gérante d’une auto-école parisienne justifie ses tarifs
L’étude de la CLCV pointe surtout du doigt la mise en avant du forfait minimum à 20 heures, qui dans la majorité des cas ne suffit, d’où la nécessité de prendre des heures de conduite supplémentaires facturées entre 50 et 55 euros chacune. « Lors de l’arrivée d’un élève dans une auto-école, une évaluation est réalisée. Elle permet de fixer les besoins en heures avant le passage de l’examen de conduite. En aucun cas, nous ne fournissons un devis. Cette évaluation est amenée à changer en fonction des besoins de l’élève. De plus, nous ne pouvons pas obliger l’élève à prendre un forfait élevé s’il ne le désire pas », explique Patrice Bessone.
« Deux facteurs jouent dans la prise ou non d’heures supplémentaires, la disponibilité de l’élève et les délais d’attente pour passer l’examen », poursuit le représentant du CNPA. « Dans certaines grandes villes, le délai est si long que le candidat doit prendre des heures supplémentaires pour continuer à s’entraîner en attendant sa date de convocation. C’est notamment le cas à Paris. C’est pourquoi, il est nécessaire d’augmenter le nombre de jours d’examen afin de permettre à plus de candidats de le passer. Cela éviterait ce coût en heure supplémentaires ».
La CLCV demande au gouvernement une homogénéisation des prix pratiqués dans les auto-écoles, sur tout le territoire français. Demande entendue par Benoît Hamon. Le ministre de la Consommation a déclaré ce jeudi 22 août au micro d’Europe 1 qu’il allait demander à la répression des fraudes de se pencher sur la tarification floue des auto-écoles.
De son côté, Patrice Bessone reste sceptique sur toutes initiatives de la part du gouvernement. « Le blocage des prix n’arrivera jamais et même s’il était mis en place il ne changerait rien à la situation ». Le président national du syndicat soupçonne même une augmentation des tarifs à prévoir si les mêmes prix étaient appliqués sur toute la France. Selon lui, le meilleur moyen de faire baisser les prix des forfaits est de « réduire les coûts fixes des auto-écoles, comme le carburant et les voitures ».
Source : L’expansion
Olivier Demeulenaere - Regards sur l'économie
L’euro n’est plus la seule monnaie à pouvoir circuler en Allemagne, le bitcoin est désormais officiellement reconnu comme « monnaie privée », selon le Frankfurter Allgemeine, et peut être librement utilisé.
« Rappelons rapidement que le bitcoin est une monnaie électronique née en 2009 et qui a pour caractéristique de circuler sur un réseau peer to peer, c’est à dire de ne pas dépendre d’un serveur unique. Autrement dit personne ne la possède ni ne peut mettre la main dessus, ni une société, ni un Etat. Sa valeur dépend de l’offre et de la demande, il n’existe pas de banque centrale qui fixe un taux d’intérêt ou fait tourner la planche à billets. On pourrait dire qu’il s’agit d’or numérique, une monnaie ayant une valeur intrinsèque et sur laquelle les autorités monétaires n’ont pas d’influence. Sa « valeur intrinsèque » étant ici le nombre croissant d’utilisateurs, la performance du réseau à traiter les transactions de…
Voir l’article original 584 mots de plus
Londres (awp/afp) – L’Autorité de conduite financière (FCA) britannique a annoncé jeudi que des banques allaient devoir rembourser jusqu’à 1,3 milliard de livres (1,5 milliard d’euros) à leurs clients pour des ventes abusives de protection de cartes de crédit.
Cette annonce, qui intervient après une longue série de scandales ayant touché la City, concerne la société Card Protection Plan Limited (CPP) et treize banques dont Barclays, HSBC, Royal Bank of Scotland (RBS) et une filiale de Lloyds Banking Group (LBG).
Sept millions de clients, qui ont au total acheté ou renouvelé 23 millions de polices d’assurance, sont concernés.
Ils avaient acheté des produits de protection de leurs cartes de crédit ou contre le vol de documents d’identité.
« Les clients recevaient des informations trompeuses ou manquant de clarté sur les polices afin de les inciter à acheter des protections qui soit n’étaient pas nécessaires soit couvraient des risques qui avaient été exagérés », a expliqué la FCA.
Les grandes banques et les sociétés émettrices de cartes de crédit avaient incité des millions de leurs clients à acheter les produits de la société CPP.
« Un grand nombre de sociétés se sont regroupées volontairement pour créer un plan de remboursement qui offrira une solution juste aux clients. Cet type d’approche collaborative et responsable constitue un bon exemple de la manière dont ces groupes prennent de plus en plus leur responsabilités pour aider à reconstruire la confiance, pas à pas », a affirmé Martin Wheatley, le directeur général de la FCA.
Les banques britanniques ont été impliquées dans une série de scandales, dont celui de la manipulation des taux interbancaires Libor et Euribor ou celui des ventes forcées d’assurances-crédit PPI, qui les ont obligées à prendre des milliards de livres de provisions.
(AWP / 22.08.2013 09h20)
Source : Romandie