Le management de la terreur… Ah ces Allemands… en plus, cette personne sait de quoi elle parle… Ce ne sont ni des théories, ni des élucubrations, c’est la froide réalité. En France, nous sommes obligés d’aller chercher à l’extérieur des spécialistes (des vrais), pour nous parler du terrorisme que nous subissons.
La NSA peut continuer à collecter les métadonnées des communications téléphoniques de millions d’Américains, selon une décision de justice exceptionnellement rendue publique.
Le quartier général de la NSA, à Fort Meade, dans le Maryland (Etats-Unis). (NSA / AFP)
Pour la première fois, ce type de décision a été rendue publique. Une cour secrète a renouvelé pour trois mois l’autorisation à la NSA de collecter les métadonnées des communications téléphoniques de millions d’Américains, a fait savoir samedi 20 juillet la Direction nationale du renseignement.
Une ordonnance de cette cour secrète, la Cour de surveillance du renseignement étranger (FISC), avait été dévoilée début juin par l’ancien consultant Edward Snowden dans le Guardian. Cette ordonnance obligeait l’opérateur américain Verizon à livrer chaque jour et pendant trois mois à la NSA la totalité des métadonnées (numéro appelé, durée de l’appel) téléphoniques de ses abonnés.
Document déclassifié
« A la lumière de l’intérêt significatif et continu de la population pour le programme de collecte des métadonnées téléphoniques, le DNI [Directeur national du renseignement, qui chapeaute la NSA] a décidé de déclassifier et de rendre public » le renouvellement de l’autorisation donné par cette cour à la NSA, affirme la Direction du renseignement dans un communiqué vendredi.
Créée en 1978 après le scandale du Watergate, la FISC est composée de 11 juges nommés pour sept ans par le président de la Cour suprême. Le programme de collecte des métadonnées téléphoniques a été créé par le Patriot Act de 2001 dans le cadre de la lutte antiterroriste puis renouvelé à de larges majorités par le Congrès en 2006 puis en 2011.
Depuis les révélations d’Edward Snowden, ce programme fait l’objet de vives critiques, des élus qui en dénoncent les dérives. Lors d’une audition cette semaine à la Chambre des représentants, une élue démocrate, Zoe Lofgren, a ainsi dit avoir l’impression « très clairement que ce programme est sorti des rails de la légalité ».
Je m’appelle Edward Snowden. Il y a un peu plus d’un mois, j’avais une famille, une maison au paradis et je vivais dans un très grand confort. J’avais aussi la capacité, sans aucun mandat, de chercher, de saisir et de lire toutes vos communications. Celles de n’importe qui, n’importe quand. J’avais le pouvoir de changer le sort des personnes.
C’était aussi une grave violation de la loi. Les 4e et 5e amendements de la Constitution de mon pays, l’article 12 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen ainsi que de nombreux accords et traités interdisent un tel système de surveillance massive et omniprésente. Mais bien que la Constitution Américaine qualifie ces programmes d’illégaux, mon gouvernement explique qu’un jugement d’un tribunal secret, que personne ne peut voir, a légitimé ces pratiques illégales. Ce jugement corrompt purement et simplement la notion fondamentale de Justice, notion selon laquelle pour réellement exister la Justice doit être appliquée dans les faits. L’immoral ne peut être rendu moral par une loi secrète.
Je crois au principe établi à Nuremberg en 1945 : « Les individus ont un devoir international qui transcende les obligations nationales d’obéissance. Il en découle que les citoyens ont le devoir de violer leurs lois domestiques pour empêcher que des crimes contre la Paix et contre l’Humanité ne puissent être perpétrés ».
Par conséquent, j’ai fait ce que j’ai cru bon. J’ai lancé une campagne contre ces mauvaises pratiques. Je n’ai pas cherché à m’enrichir. Je n’ai pas cherché à vendre des secrets américains. Je n’ai passé aucun accord avec un gouvernement étranger pour garantir ma sécurité. À la place, j’ai rendu public ce que je savais, pour que ce qui nous touche tous puisse être débattu par nous tous, à la lumière du jour. J’ai voulu un monde de Justice.
Cette décision morale de parler au grand public de ces pratiques d’espionnage m’a coûté très cher, mais c’était la chose à faire et je ne regrette rien.
Depuis, le gouvernement américain et ses services de renseignements ont essayé de faire de moi un exemple, un avertissement pour tous ceux qui seraient tentés de parler à leur tour. J’ai été rendu apatride et traqué pour m’être exprimé politiquement. Les États-Unis d’Amérique m’ont mis sur la liste des personnes interdites de vol aérien. Ils ont demandé à Hong-Kong de m’extrader, en dehors du cadre juridique qui s’applique dans ce pays, et en totale violation du principe de non-refoulement des Nations-Unis. Ils ont menacé de sanctions des pays qui étaient prêts à défendre mes droits et le système d’asile reconnu par l’ONU. Ils ont même franchi une étape, sans précédente, en donnant l’ordre à une puissance militaire alliée de forcer l’avion d’un Président d’Amérique Latine à atterrir pour y chercher un réfugié politique. Cette escalade dangereuse n’est pas qu’une menace contre la dignité de l’Amérique Latine, c’est une menace contre le droit fondamental, partagé par toutes les personnes et par toutes les nations, de vivre sans être persécuté, de pouvoir demander un asile et d’en bénéficier.
Malgré tout, devant cette agression historique et disproportionnée, un peu partout dans le monde, des pays m’ont proposé soutien et asile. Ces nations, parmi lesquelles la Russie, le Venezuela, la Bolivie, le Nicaragua et l’Équateur, ont toute ma gratitude et mon respect pour avoir été les premières à se lever contre ces violations des Droits de l’Homme perpétrées par des puissants, et non par des faibles. En refusant d’abandonner leurs principes devant les intimidations, ils ont gagné le respect du monde. J’ai l’intention de voyager dans chacun de ces pays pour exprimer mes remerciements personnels à leurs peuples et à leurs dirigeants.
J’annonce aujourd’hui que j’accepte officiellement toutes les offres de soutien et d’asile qui m’ont été faites, et toutes celles qui pourront m’être faites dans le futur. Avec, par exemple, la proposition du Président du Venezuela, M. Maduro, mon statut de réfugié est désormais officiel. Aucun état n’a donc le droit ni de limiter ni d’interférer avec mon droit de bénéficier de cet asile. Mais comme nous l’avons vu, certains gouvernements d’Europe Occidentale et d’Amérique du Nord ont démontré leur volonté d’agir en dehors des lois. Ce comportement persiste aujourd’hui et ces menaces illégales me rendent impossible tout voyage vers l’Amérique Latine pour bénéficier de l’asile politique qui m’y a été accordé dans le respect de nos droits universels.
Cette volonté d’états puissants d’agir hors des lois représente une menace pour nous tous, elle ne doit pas être couronnée de succès. Par conséquent, je demande votre assistance (N.D.L.R. : Aux associations) pour me garantir un chemin sûr par les pays concernés en sécurisant mon voyage vers l’Amérique Latine. Je demande également l’asile à la Russie jusqu’à ce que ces états respectent la loi et que mon voyage, légal, soit permis. Je vais soumettre ma requête à la Russie aujourd’hui en espérant qu’elle soit accueillie favorablement.
Si vous avez des questions, j’y répondrai autant que je le peux.
Au cours de la « petite dizaine » de « réunions de travail » qui suivent, Jérôme Cahuzac s’intéresse de près à cinq affaires bien précises : Wildenstein, Wendel, Tapie, Takieddine et Bettencourt. Jérôme Cahuzac pourrait être en possession d’informations cruciales sur chacune d’entre elles.
C’est un énième scandale portant sur la violation de la vie privée qui frappe ces derniers jours les Etats-Unis, à savoir que la NSA et le FBI ont accès aux serveurs de grandes sociétés américaines de l’Internet comme Google et Facebook. Coïncidence, ce jeudi, un projet de réglementation européen sur le renforcement de la protection des données – que les grands groupes américains tentaient d’affaiblir – a été recalé par les Etats membres.
Au vu de ce qui se passe aux Etats-Unis, la protection des données Internet et de la vie privée au sein de l’Union européenne est-elle suffisamment barricadée ? Etienne Wery, avocat aux barreaux de Bruxelles et Paris, est catégorique :« L’Union européenne n’est pas les Etats-Unis, où les autorités ont plus de pouvoir et n’ont qu’à évoquer la loi antiterroriste pour se voir accorder l’accès à tout ce qu’elles veulent. » Ainsi, s’il est légal aux Etats-Unis, depuis le « Patriot Act », de collecter les données personnelles des citoyens de manière pratiquement inconditionnelle, il en est tout autrement en Europe.
En effet, il existe des règles européennes contenant des dispositions sur la rétention de données, c’est-à-dire la conservation des données de connexion à des fins de surveillance policière. Mais l’UE n’ayant légiféré en la matière qu’à travers des directives, « le choix des moyens appartient aux États membres qui appliquent donc chacun leur propre politique« . De manière générale, les institutions européennes essaient toutefois d’établir un équilibre entre la possibilité pour les autorités étatiques d’accéder à des informations estimées nécessaires et la protection des données à caractère personnel. Et si les institutions européennes s’intéressent à une personne, elles s’adressent aux autorités du pays en question.
« En Belgique, une loi prévoit une possibilité d’accès étendue contrebalancée par un système de contrôle », explique quant à elle Carine Doutrelepont, docteur en droit de l’ULB enseignant le droit des médias, le droit européen et la propriété intellectuelle. Ainsi, même s’il est évident que les États membres ont l’autorisation de récolter des informations personnelles s’il existe un risque pour la sécurité des personnes, certaines conditions doivent être remplies et de longues procédures suivies. Mme Doutrelepont ajoute malgré tout qu’« il existe dans l’Union européenne tout un arsenal de règles juridiques limitant l’insertion des autorités dans la vie privée des individus, mais ces garde-fous n’empêchent pas toujours certains Etats de permettre aux sociétés de renseignement et de sécurité d’établir des bases de données concernant leurs citoyens ».
Des plats à base de rats, renards et produits chimiques estampillés bœuf et mouton, de la viande coupée avec de l’eau ou encore des morceaux avariés : ces trois derniers mois, les autorités chinoises ont arrêté plus de 900 personnes et saisi plus de 20 000 tonnes de produits carnés frauduleux. De quoi relancer la question de la sécurité sanitaire en Chine, émaillée de scandales à répétition.
En mars dernier, plus de 16 000 cadavres de porcs sont repêchés dans le principal fleuve qui traverse Shanghaï, le Huangpu, qui compte pour 22 % de laconsommation d’eau des 23 millions d’habitants de la mégalopole. Aucune responsabilité n’est officiellement établie et les informations manquent sur le circovirus porcin vraisemblablement à l’origine des morts. Mais l’affaire faitressurgir le commerce mafieux qui prévalait jusqu’en 2012, quand la mafia locale rachetait les cochons malades morts pour les revendre comme de la viande fraîche sur les marchés de la région.
En mai 2012, l’agence de presse étatique, Xinhua, révèle que des marchands chinois enduisent les choux de formol avant le transport pendant la saison chaude. Peu onéreux, ce produit, qui provoque des irritations et est classé comme cancérigène, permet d’éviter que les légumes ne s’abîment durant les longs trajets dans des camions non réfrigérés. Selon la presse locale, cette pratique était commune depuis au moins trois ans dans la province du Shandong (dans l’est de la Chine), une région agricole majeure. En 2010, certains maraîchers chinois avaient également trempé des champignons dans l’eau de javel, afin de lesblanchir.
La police chinoise arrête 32 personnes dans trois provinces, en septembre 2011, pour avoir produit et écoulé de l’huile frelatée fabriquée à partir de restes prélevés dans le caniveau à la sortie des restaurants. Cette huile pourrait représenter jusqu’à 10 % de l’huile consommée en Chine, selon certaines estimations. Les inspections sanitaires ont depuis été renforcées, mais le phénomène est difficile à éradiquer car le recyclage de l’huile de cuisine s’avère très lucratif.
Des pastèques explosives
Près de 50 hectares de cultures de pastèques, dans la province orientale du Jiangsu, sont perdus après que les fruits ont explosé en mai 2011. Les experts évoquent l’utilisation excessive dans les cultures de forchlorfenuron, un produit chimique qui favorise la division cellulaire et permet d’augmenter la taille des fruits, d’améliorer leur couleur et les rendements.
En avril 2011, la télévision chinoise révèle que près de 300 000 petits pains, appelés mantou, vendus dans les supermarchés à Shanghaï ont vu leur composition altérée : en plus de toute une série de composants chimiques qui ne figuraient pas sur l’emballage, de la teinture jaune toxique a été introduite pourdonner à la préparation la couleur du maïs. Enfin, une grande partie d’entre eux avaient été recyclés dans de nouveaux emballages alors que leur date d’expiration était dépassée.
Quelques jours auparavant, du lait frais est empoisonné au nitrite, un engrais agricole, dans la province de Gansu, au nord-ouest du pays. Bilan : 3 enfants morts et 36 gravement malades. L’affaire ravive la psychose de la contamination à la mélamine. Mais l’enquête policière finit par révéler que l’introduction de nitrite résulte d’un acte criminel intentionnel : un couple de fermiers avait en réalité empoisonné la production laitière de son voisin par acte de vengeance.
Autre fraude dans la province centrale du Hunan fin mars 2011 : du clenbutérol, un anabolisant, est découvert dans les produits d’une marque qui appartient au premier producteur de porc chinois, le groupe Shanghui. Cette substance, à l’origine pour un usage vétérinaire et parfois utilisée par les sportifs comme produit dopant, transforme la graisse en muscle. Elle est prohibée car elle entraîne chez le consommateur des palpitations cardiaques, nausées, insomnies. En novembre,113 personnes, dont 17 fonctionnaires gouvernementaux, sont condamnés dans cette affaire. Des centaines de personnes étaient déjà tombées malades dans des cas similaires à Shanghaï en 2006, puis dans la province du Guangdong en 2009.
Le lait à la mélamine
C’est le principal scandale alimentaire et sanitaire chinois : en mars 2008, de la mélamine est retrouvée dans le lait en poudre pour nourrissons de la marque Sanlu, très populaire dans le pays. Le composant chimique toxique, utilisé frauduleusement dans l’industrie alimenaire pour faire monter artificiellement le taux de protéine, entraîne la mort de 6 nourrissons et en contamine près de 300 000, qui seront atteints de maladies chroniques. La fraude, organisée à grande échelle, met en cause 22 sociétés laitières chinoises. Mais, pour éviter de ternir la réputation de la Chine à la veille des Jeux olympiques, le scandale n’est révélé que plusieurs mois plus tard. Début 2009, la justice condamne 21 personnes, dont 3 à des condamnations à mort. Preuve que la politique de contrôle sanitaire n’a pas été réformée, les scandales de lait frelaté sévissent toujours en Chine.
C’est le genre de choses qu’ils ne veulent pas que nous voyions. S’il vous plaît partagez cette information avec tous ceux que vous connaissez. (Avertissement, certaines de ces images sont repoussantes, à première vue. Je vous assure cependant que le sang et la chair sont du toc, je peux le prouver par simple observation, médicalement informée.)
J’ai étudié et obtenu un diplôme d’ambulancier avec l’état d’Oregon. Je suis parti en mission pour des saignements artériels lourds, des hémorragies internes, des morts, des morts à l’arrivée. Je parle d’une expérience directe et personnelle des traumatismes sérieux.
Voici une photographie éloquente de l’acteur amputé (prise le jour de l’attentat, ndt). J’encourage les lecteurs à comparer la photo avec mon analyse.
Si vous perdez vos deux jambes à la suite d’un traumatisme explosif la moitié de votre sang s’en va en une minute par les artères fémorales, et vous êtes mort en deux minutes. Le saignement est pire avec un traumatisme par force non tranchante (comme le shrapnel) parce que la chair est déchirée plutôt que coupée, exposant davantage de tissus artériels et vasculaires. Le corps humain contient 5 à 6 LITRES de sang. Si c’était vraiment arrivé vous verriez du sang PARTOUT, le mec en serait trempé. Vous verriez aussi ce qui s’appelle des giclements artériels depuis la blessure. Selon toute vraisemblance il vomirait après être devenu livide de par le choc, avant de devenir délirant ou de s’évanouir. Pour ce qui est du « tourniquet »…
Il n’est même pas attaché, il est suspendu par la gravité, ce qui ne ferait strictement rien à une artère sectionnée. Il n’y a pas d’application de pression. Il n’y a pas de nœud avec un tourniquet pour faire levier. Vous pouvez clairement voir un espace dans l’emballage bâclé sur sa cuisse intérieure gauche (proximal antérieur gauche pour les experts). Ses mains n’ont pas de sang sur elles. Il n’y a pas de sang sur le sol. La couleur dans ses mains et sur ses lèvres démontre une bonne circulation.
C’est un acteur. C’est une mise en scène. Comment s’y sont-ils pris? Je peux vous montrer.
Ici dans l’image 6 à gauche nous voyons l’homme avec une capuche qui installe les prothèses de fausses blessures aux jambes. Son attention et ses mains sont juste là. La femme sert de bouclier pour couvrir ce qui se passe.
Image 6
Ici dans l’image 8 les prothèses sont en place. Au milieu de tout ce chaos, quelques secondes après l’explosion l’homme à capuche prend le temps de mettre ses lunettes de soleil, ce qui est un signal.
Image 8
Ici dans l’image 9 désormais affublé de ses lunettes de soleil l’homme à capuche et la femme croisent le regard, signal reçu.
Image 9
Dans l’image 11, après avoir reçu le signal la femme fait un geste la main ouverte dans la direction dans laquelle ils regardent tous les deux, signalant que les fausses blessures sont en place pour les caméras. L’amputé, qui est allongé, élève sa blessure prothétique gauche dans l’air au-dessus de l’épaule de la femme. Pas de présence de sang. L’os est sec, pas de sang sur la jambe au-dessus du genou, pas de sang sur la femme, pas de giclement artériel, rien.
Image 11
Ici dans l’image 14 la femme tourne la tête à droite mais fait toujours ce signe la paume ouverte, de sa main gauche. L’homme à capuche s’affaire encore en versant du faux sang sur le trottoir derrière la femme. L’amputé a les deux fausses blessures en l’air maintenant. Il n’y a toujours pas de sang sur ses jambes, sa peau au-dessus de la blessure est propre et sèche.
Image 14
Image 20, le faux sang et les prothèses sont en place. L’amputé fait un geste la main ouverte avec la femme pour rameuter les caméras. Nous avons passé 20 images et il n’y a toujours pas la moindre goutte de sang coulant d’une double amputation des jambes. Ses jambes sont sèches, la femme est au sec et sans dommages. Les deux font le même geste de la main.
Image 20
Ce sont des acteurs. C’est une mise en scène. C’était de la poudre aux yeux. Il n’y avait pas de bombe à clous lancée par un taré. Il n’y a pas de poseurs de bombes, seulement des pigeons. Si vous cherchez un homme armé regardez du côté de l’armée dans les rues de Boston. Partagez cette information avec tout le monde.
Une enquête sur les milliers d’assassinats de leaders syndicaux qui ont eu lieu en Colombie depuis les années 1980, a mené les réalisateurs Germain Gutierrez et Carmen Garcia dans des entreprises sous-traitantes de multinationales. L’une d’entre elles, la firme Coca-Cola, aurait une part de responsabilité dans le meurtre de huit syndicalistes colombiens. Les avocats américains Daniel Kovalik et Terry Collingsworth se battent devant les tribunaux américains pour que celle-ci soit reconnue.