Guerre civile : La France est une vaste poudrière

A entendre parler les français sur l’avenir de la France, beaucoup sont persuadés de l’émergence prochaine d’une guerre civile.
Nous le découvrons tous les jours et le sentons confusément :  la France est une vaste poudrière dont les gouvernants et les médias occultent, de peur que nous voyions une réalité effrayante et incontrôlable.Des étincelles apparaissent au dessus de cette poudrière les unes après les autres, manif pour tous, bonnets rouges, agriculteurs en colère, etc… sans que cette dernière n’explose, et tous le monde se demande comment cela est-il possible.

Ces mouvements de protestations économiques et culturels inquiètes les élites qui se retrouveraient être la cible en cas d’éclatement.

Alors, afin de détourner une colère prévisible, on laisse volontairement une autre situation s’envenimer, et même surement favoriser. Celle du choc des civilisations qui ne va qu’en s’accentuant. D’un Coté, des gens issus de l’immigration, principalement musulmans, se sentant rejeté par la population autochtone et/ou ne désirant pas s’intégrer, vivant pour la plupart dans la pauvreté, certains profitants même du système. Et en face, une majorité exaspéré se sentant incompris et oublié, d’origine chrétienne, une classe moyenne en colère qui s’appauvrit.
Les manifestations suite aux meurtres de Charlie Hebdo n’étaient pas que pour défendre la liberté d’expression et encore moins pour soutenir l’hebdomadaire satirique mais reflétait aussi d’un raz-le-bol d’une population redoutant se perte d’identité ne supportant plus des terroristes islamisés faire la loi.

Les dés sont jetés. Reste plus qu’a savoir quand cela explosera…

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Syrie : la ville chrétienne de Maaloula aux mains des rebelles et des jihadistes d’al-Nosra

Des rebelles dont des jihadistes liés à AlQaïda ont pris dimanche le contrôle du village chrétien de Maaloula au nord de Damas, après de violents combats avec l’armée, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

Les combats nocturnes ont fait 17 morts et plus de 100 blessés parmi les rebelles et des dizaines de morts et de blessés dans les rangs des forces gouvernementales et leurs supplétifs, selon l’ONG qui s’appuie sur un large réseau de militants et de médecins à travers le pays en guerre.

Vue générale de Maaloula. Photo d'archives/AFP

« Les troupes du régime sont entrées dans Maaloula mais les rebelles y ont envoyé des renforts et ont pu prendre le contrôle de tout le village après de violents combats dans la nuit. Les soldats se sont ensuite repliés aux confins de la localité », a dit à l’AFP le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane.

Selon lui, les rebelles sont constitués notamment de combattants du groupe sunnite extrémiste du Front al-Nosra qui s’est rallié aux rebelles voulant renverser le régime syrien et a revendiqué de nombreux attentats suicide et à la voiture piégée à travers le pays.

La prise de Maaloula permet aux rebelles de resserrer l’étau autour de Damas et de menacer la route principale reliant la capitale à Homs, plus au nord, voie stratégique pour le ravitaillement des troupes du régime.

Les rebelles sont en effet présents déjà au sud, à l’est et à l’ouest de Damas et la prise de Maaloula renforce leur présence au nord de la ville.

Une habitante, jointe par téléphone, a confirmé le retrait de l’armée et la présence des rebelles à Maaloula, l’une des plus célèbres localités chrétiennes de Syrie dont les habitants parlent l’araméen, la langue de Jésus-Christ.
S’exprimant sous le couvert de l’anonymat, elle a indiqué que la situation était calme dimanche matin. « Les rebelles sont dans tout Maaloula. Les troupes du gouvernement s’en sont retirées ».
Maaloula, village de 5.000 âmes situé à 55 km au nord de Damas, doit sa renommée à ses refuges troglodytiques datant des premiers siècles du christianisme. La majorité de ses habitants chrétiens sont grecs-catholiques.
Les combats pour la prise de Maaloula avaient commencé mercredi par une attaque suicide attribuée au Front al-Nosra contre une position de l’armée à l’une des entrées de Maaloula. Une vidéo postée alors par les rebelles a montré des insurgés parlant dans des talkie-walkies alors que le caméraman clame « Dieu est le plus grand. Libération du barrage de Maaloula ». La caméra montrait des corps gisant sur la chaussée.
Une habitante jointe alors par téléphone au monastère de Mar Takla avait affirmé que les jihadistes d' »al-Nosra tiraient sur la localité avec des obus et des mitrailleuses anti-aériennes. C’est la première fois que nous sommes attaqués ».

Selon la Coalition nationale de l’opposition syrienne, les rebelles se sont retirés de Maaloula dans la nuit de jeudi à vendredi dans le but de préserver l’héritage religieux et archéologique de la ville. Mais les combats avaient repris samedi et la télévision d’État avait même affirmé que l’armée avait « nettoyé » Maaloula des insurgés.

(Lire aussi : « Dieu, protège la Syrie » : les chrétiens de Damas prient à l’appel du pape)

La localité, qui prévoit de célébrer la fête de l’Exaltation de la Croix le 14 septembre, abrite aussi le monastère grec orthodoxe de Mar Takla, construit autour de la grotte et du tombeau de Sainte-Thècle fêtée, elle, le 24 septembre.

 

Inconnu avant la révolte en Syrie, le Front al-Nosra appelle à un État islamique en Syrie.

Récemment, la tension est montée entre al-Nosra et la rébellion dite modérée de l’Armée syrienne libre (ASL), en raison des multiplications des exactions par les jihadistes.
Déclenchée en mars 2011 par une contestation populaire pacifique qui s’est militarisée face à la répression menée par le régime, la guerre oppose l’armée à une rébellion hétéroclite composée de déserteurs, de civils ayant pris les armes et d’étrangers jihadistes.

Plus de 110.000 personnes y ont péri selon l’OSDH, alors que plusieurs millions de Syriens ont été poussés à la fuite.

 

Source : L’orient le jour

 

La France détruit ses églises sans respecter la loi

L’église de la ville d’Abbeville n’est plus. À sa place nous voyons des gravats, ceux d’une église qui a été construite de 1868 à 1878. Ils attendent le camion benne et la décharge. Le diocèse d’Amiens est sous le choc tout comme de nombreux habitants, d’Abbeville, de France en passant par l’Allemagne [1] et la Russie [2].

 église Abbeville

Les Européens, les Français et le monde chrétien, se demandent ce qui se passe avec la France. Est-ce que bientôt d’autres églises vont suivre le même sort que celui de l’église de Saint-Jacques ?

Pendant que la Russie a reconstruit ses églises en sortant de l’URSS, l’Europe détruit maintenant ses églises qui sont le patrimoine culturel, des lieux de culte et la mémoire de la civilisation européenne. D’autres églises qui pourraient être détruites sont pourtant consolidées et rénovées comme à l’image de l’église néo-gothique de Plounerin http://www.sauvegarde-eglise-plounerin.com/ qui a été construite en Bretagne entre 1875 et 1878. Les Bretons de la petite commune de sept cents habitants avec leur maire communiste ont fait un référendum en 2010 et ont décidé de restaurer leur églisehttp://www.plounerin.fr/spip.php?article108 qui pourtant était, elle aussi, dans un mauvais état et qui menaçait elle aussi de s’écrouler.

Position de la mairie. Le chef de cabinet du maire d’Abbeville, Nicolas Dumont, PS, explique que « Hormis l’émotion de cette déconstruction les habitants d’Abbeville comprennent la décision qui a été prise. C’est une question de sécurité publique. L’église menaçait de s’effondrer à tout moment. On est conscients que certaines personnes auraient souhaité qu’on fasse des travaux mais ce n’était pas possible notamment vu l’état technique. Mais après les gens sont quand même raisonnables et comprennent la nécessité de déconstruire. Même le maire d’Abbeville ne souhaitait pas déconstruire cette église. Le maire n’a pas été élu pour déconstruire du patrimoine. C’est simplement au regard du rapporthttp://www.abbeville.fr/images/telechargements/eglise_saint_jacques.pdfde l’expert mandaté par le tribunal administratif que le maire a été obligé de prendre cette décision.»

Une structure instable bien résistante. Pour les auteurs du blog Saint-Jacques oubliée http://saintjacques-l-oubliee.over-blog.com/ des questions se posent. Stéphane Decayeux écrit : « Je tenais à exprimer notre profonde tristesse de voir la manière avec laquelle notre église Saint-Jacques qui, je le rappelle, n’aura pas même été désacralisée, se voit infliger une destruction si violente et totale. Et sans égard aucun vis à vis de certaines pièces du mobilier religieux (confessionnal détruit, statue endommagée toujours visible mais inaccessible aujourd’hui ce lundi au milieu des ruines ! Stéphane Cailleux se pose aussi une question importante car la structure jugée instable et menaçant de tomber rapidement n’a pas pliée aussi facilement aux coups de la pelleteuse : « Bon nombre de nos concitoyens abbevillois nous interpellent, croyants ou non, choqués de si peu de respect pour ce monument, fut-il dans un état de péril imminent ! État qui reste à démontrer à voir les moyens qu’il aura fallu et qu’il faudra encore déployer pour détruire un clocher qui risquait de chuter à tout moment ! »

Diocèse. L’économe du diocèse d’Amiens, Stéphane Duté, qui ne décolère pas, nous apprend que durant dix ans la mairie n’a rien fait pour rénover et entretenir l’église, et raconte : « L’église a été détruite. Et il y a un souci car légalement ce n’est pas possible. Il faut l’autorisation du préfet et de l’évêque. Pour qu’une église soit détruite, elle doit d’abord être désacralisée et seul l’évêque en relation avec le préfet peut l’accepter. De fait le maire d’Abbeville a considéré qu’il était au-dessus des lois car il n’a pas demandé l’avis de l’évêque. Il y a deux choses. Il y a une église qui est détruite et il y a un maire qui décide d’être au-dessus des lois. C’est à dire que la loi en France n’est pas nécessairement respectée à condition toutefois d’être dans le bon camp. Les lois s’appliquent à tout le monde sauf à ceux qui les font. Cela arrive en France depuis une quinzaine d’année. Nous n’allons pas en rester là. On va voir avec les évêques de France. On ne casse pas une église comme ça. C’est scandaleux car on ne respecte plus rien, même pas la loi. Le maire a fait quelque chose d’illégal et nous on aura un problème car on aura une église en moins. »L’abbé Jean-Louis Brunel et la communauté catholique sont sous le choc car la destruction a commencé sans que la communauté chrétienne ait été avertie http://www.youtube.com/watch?v=IE4BgSmsZGU .

 

Sources : La voix de Russie et E&R

Les FEMEN seins nus à Notre-Dame de Paris pour fêter le départ de Benoit XVI

 

Une des images de leur site officiel, au non de l’égalité…, des testicules sont fièrement arborées…

femen

 

 

Vidéos et articles qui en disent un peux plus sur leur mouvement.

 

Les FEMEN : ni putes ni soumises ? (E&R) (Sam Révolte)

Alors FEMEN le jour, call girl la nuit ? (Homme Libre)

 

Le recteur de Notre-Dame porte plainte contre les Femen (Le Point)

Delanoë et Valls condamnent l’action des Femen (Le Point)

Marine Le Pen face au chrétiens, contre le mariage et l’adoption homosexuel


Invitée de l’émission Face aux Chrétiens, Marine Le Pen, présidente du Front National, députée européenne, n’exclut pas d’appeler à manifester, y compris avec l’UMP contre la loi sur le mariage homosexuel. Elle ne trouve rien de bon dans les 6 mois de pouvoir gouvernemental socialiste : « C’est une catastrophe, une agitation, car il n’ y a aucune ligne. François Hollande est un mauvais pilote car il est assis à la place du passager et c’est l’Europe qui conduit ». Sur le plan international, Marine Le Pen s’oppose à toute intervention armée en Syrie.
Émission du 01/11/2012.