
« Les États-Unis veulent commencer une guerre mondiale » : Le président vénézuélien Nicolas Maduro

Luanda, en Angola, est la ville la plus chère au monde pour y vivre et y travailler. Elle détrône ainsi la capitale nippone, Tokyo, en tête de liste des villes les plus chères au monde l’an dernier.
Voilà donc le résultat du classement annuel des villes les plus onéreuses, établie parMercer, le spécialiste RH. Mercer se fonde sur les coûts en matière de logement, de transport, de commissions ménagères, de vêtement et de divertissement.
Classement |
Ville |
Pays |
||
2013 |
2012 |
2011 |
||
1 |
2 |
1 |
Luanda |
Angola |
2 |
4 |
4 |
Moscou |
Russie |
3 |
1 |
2 |
Tokyo |
Japon |
4 |
8 |
3 |
N’Djamena |
Tchad |
5 |
7 |
8 |
Singapour |
Singapour |
6 |
9 |
9 |
Hong Kong |
Hong Kong |
7 |
5 |
5 |
Genève |
Suisse |
8 |
6 |
7 |
Zurich |
Suisse |
9 |
14 |
16 |
Bern |
Suisse |
10 |
11 |
14 |
Sydney |
Australie |
Karachi, capitale économique du Pakistan, est la lanterne rouge du classement et occupe la 214ème place. Le loyer pour un appartement deux chambres y est 14 fois moins cher qu’àMoscou par exemple.
Manon Gerritsen, le spécialiste des expats chez Mercer explique :
« Il y a de grosses disparités entre les villes. C’est e.a. dû au fait que certains biens, certaines denrées alimentaires ou des facilités particulières ne sont que très peu disponibles dans quelques pays et doivent ainsi être importés. Ce qui allonge évidemment vite la note. D’un autre côté, il est clair que certaines villes sont tout simplement plus chères. À Londres, un billet de cinéma vous coûtera 15 euros, alors qu’il vous reviendra à 9 euros à Bruxelles. Une tasse de café coûte 3,30 euros à Bruxelles, tandis qu’il faut dépenser 6,20 euros pour la même chose à Moscou. »
En fait, c’est surtout le prix du loyer qui est déterminant dans ce classement. Gerritsen poursuit : « L’on pense souvent que les villes dans les pays en voie de développement sont meilleur marché, mais ce n’est pas forcément le cas pour les expats qui y travaillent. Les multinationales essaient d’offrir aux expats des niveaux de vie similaires à ceux de leur pays d’origine. Cela implique que les prix des loyers pour des beaux appartements peuvent par exemple être très élevés. Vous pouvez vous imaginer que le même appartement n’aura pas le même prix à Luanda qu’à Bruxelles. Dans les pays plus exotiques, on parle souvent de communautés en huis clos, de zones résidentielles complètement isolées et surveillées. Vous n’avez pas besoin de cela à Bruxelles par exemple. Le loyer moyen d’un appartement, à savoir 1700 euros, y est beaucoup moins élevé. » Un appartement à Luanda coûte en moyenne 4.850 euros par mois, presque le triple du loyer moyen dans la capitale belge.
Source : Référence
Source : Le Figaro
Source : it.paperblog.com
Source : RIANOVOSTI
Les Etats-Unis ayant succédé à la Grande-Bretagne comme puissance dominante, dès le XX e siècle, beaucoup pensent que le XXI e siècle sera celui de la Chine.
C’est là un raisonnement de type purement national. Certes, l’empire du Milieu est encore la première communauté de la planète, mais, d’ici peu, il sera dépassé par Facebook, qui compte aujourd’hui 1 milliard de membres environ. La nouvelle puissance n’est pas là où on l’attend. C’est, déjà, l’individu. Où qu’il soit, aux Etats-Unis ou en Chine.
Pendant des siècles, les principaux acteurs sur la scène universelle furent les princes et leurs familles, qui résidaient dans des villes-Etats puis dans des Etats-nations. Après 1945 apparurent la quasi-totalité des organisations internationales (ONU, FMI, OCDE, GATT-OMC, OMS, etc.). A ces deux grands acteurs sont venues s’ajouter les organisations non gouvernementales (ONG), ainsi dénommées depuis 1944, même si les toutes premières datent du XIX e siècle, notamment la Croix-Rouge. L’explosion de leur nombre a modifié la gouvernance mondiale depuis quelques décennies. Dans ce concert, quelle que soit la période de l’histoire à laquelle on se réfère, les individus n’ont joué que des rôles marginaux. De Spartacus au jeune Chinois planté les bras en croix devant les chars de la place Tiananmen (5 juin 1989), quelques-uns se sont illustrés, mais ils n’ont jamais modifié durablement le cours de l’histoire. Les puissants ont toujours prétendu agir au nom du peuple et pour son bien, maintenu néanmoins au rang de piétaille et/ou de chair à canon.
Et si les réseaux sociaux étaient des nations virtuelles, avec leur propre régime, leur propre monnaie ? Si c’était le cas, en 2016 Facebook pourrait devancer la Chine. Trois ans plus tard le nombre de membres de Facebook pourrait être beaucoup plus grand que le nombre d’habitants en Chine.
Ce monde est moribond. Dans celui qui naît, l’individu joue le rôle principal. La révolution numérique et Internet ne le mettent pas seulement en ligne, mais en première ligne. Il peut se connecter à ses semblables du monde entier, à chaque instant. Il n’est plus dans le monde, le monde est en lui. Des liaisons provisoires se forment avant de se volatiliser, des accords temporaires se nouent avant de se rompre, des alliances précaires s’établissent avant de s’évaporer. Cette oscillation permanente qui tisse de nouveaux liens entre le solidaire et l’éphémère ne permet plus aux vieux pouvoirs d’exercer leur pression habituelle. Femmes et hommes n’acceptent plus qu’on pense pour eux, qu’on parle pour eux, qu’on agisse pour eux. Ils sont aujourd’hui des milliards dans ce cas, même si tous ne parviennent pas encore à l’exprimer comme ils le voudraient. « Le pape, combien, de divisions ? », demandait Staline. Désormais, c’est Untel, combien de « followers » ?
Aussi les questions qui désormais se posent à nous, à nous tous, sur tous les continents de notre bonne vieille planète, sont donc celles-ci : comment peut s’organiser un monde où chacune et chacun revendique le droit d’exister, individuellement et socialement, sans médiation ? Quelle régulation respectueuse devons-nous, tous ensemble, imaginer ? Quel futur devons-nous construire pour que, tous ensemble, nous construisions un présent acceptable pour chacun d’entre nous ?
Sources : François Rachline sur Les Echos et Ya-Graphic
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Cela semble paradoxal, mais malgré l’absence de la pénurie des vivres, un homme sur huit souffre toujours de la faim sur Terre. Selon les chiffres de l’ONU, un humain sur la planète dispose en moyenne de 152 kilos de céréales par an, soit 500 g chaque jour. Toutefois, selon ces mêmes chiffres, 870 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde. […] suite sur La voix de la Russie
Source : Grain