La pollution spatiale plus inquiétante que jamais

Morceaux de fusées, satellites en fin de vie, objets oubliés par les astronautes : les orbites de la Terre sont devenues de véritables poubelles. Pour les experts, il est urgent d’agir contre ces débris spatiaux qui se multiplient dangereusement.

Depuis 1957, 4900 lancements dans l'espace ont été réalisés, occasionnant une pollution des orbites très importante. CNES

POLLUTION. Il n’y a pas que les océans qui sont pollués par l’activité humaine. Morceaux de fusées, satellites en fin de vie, outils perdus par des astronautes… Les orbites de la planète commencent elles aussi à être quelque peu encombrées. Les débris spatiaux sont les résidus des quelque 4 900 lancements effectués depuis le début de l’ère spatiale en 1957 et qui, sous l’effet de dislocations et de collisions en chaîne n’ont cessé de se multiplier.

Car en plus des déchets abandonnés ou perdus par les différents programmes spatiaux, il faut compter avec le « syndrome de Kessler », scénario élaboré en 1978 par le consultant de la Nasa, Donald J. Kessler, dans lequel le volume des débris spatiaux atteint un seuil au-dessus duquel les objets en orbite sont fréquemment heurtés par des débris, augmentant de façon exponentielle le nombre de ces débris et la probabilité des impacts. Ainsi, même en arrêtant net les lancements aujourd’hui, le nombre de débris continuerait à augmenter par le seul effet du « syndrome de Kessler ».

Au rythme actuel, le risque de collision pourrait être multiplié par 25

Pas étonnant donc que la 6e Conférence européenne sur les débris spatiaux qui s’est achevée à Darmstadt en Allemagne le 25 avril 2013 ait conclu à une situation des plus alarmantes.

Depuis 1978, « le nombre de débris spatiaux a triplé » avec « un risque de collision démultiplié », avertit Heiner Klinkrad, directeur du département des débris spatiaux à l’Agence spatiale européenne (ESA). Or, selon les projections des agences spatiales, si les lancements se poursuivent au rythme actuel et que rien n’est fait pour limiter le nombre de débris, le risque de collision pourrait à terme être multiplié par 25.

RISQUES. Actuellement la Nasa et l’Agence spatiale européenne (ESA) s’accordent pour dénombrer plus de 23 000 débris de plus de 10 cm dont la majorité peuple les orbites basses qui sont les plus utilisées par les satellites d’observation (entre 800 et 2 000 km d’altitude). Lors d’un impact, ces objets ont des conséquences catastrophiques pour le satellite atteint pouvant aller jusqu’à sa perte voire générer une explosion.

Exemple d’impact sur la surface d’un satellite (crédit : CNES).

Dans l’espace, l’énergie cinétique d’un objet d’1 mm est égale à celle d’une boule de pétanque lancée à 100 km/h

(crédit : CNES)

Un objet d'1cm suffit à mettre hors service un satellite

Les débris plus petits peuvent eux aussi occasionner des dégâts importants. Leur vitesse orbitale étant comprise entre 8 et 10 kilomètres par seconde (entre 29 000 et 36 000 km/h !), leur énergie cinétique n’en est que plus importante.À titre de comparaison, le CNES donne cet exemple : une sphère d’aluminium d’un diamètre de 1 mm se déplaçant à une vitesse de 10 km/s a la même énergie cinétique qu’une boule de pétanque lancée à 100 km/h. On estime à plus de 300 000 le nombre de débris compris entre 1 et 10 cm, et à 35 millions ceux de plus d’1 mm ! Ces deux derniers types de débris représentent un danger très important, notamment parce qu’ils ne sont pas catalogués.

Ainsi, chaque année en moyenne, l’ISS (qui n’évolue pas dans les orbites les plus polluées) est contrainte de réaliser une manœuvre d’évitement pour échapper à une collision potentielle. Selon l’ESA, une dizaine d’objets s’approchent à moins de 2 km d’un satellite toutes les semaines. Et on ne parle là que des 23 000 débris répertoriés par les agences spatiales…

Explications de Heiner Klinkrad, directeur du département des débris spatiaux à l’ESA. (crédit : euronews.fr)

SOLUTIONS. « Il y a un consensus fort sur la nécessité urgente d’agir dès à présent pour commencer à enlever ces débris », a assuré M. Klinkrad à l’issue de la conférence de Darmstadt, qui a rassemblé quelque 350 acteurs de l’industrie spatiale.

Pour ce faire, l’ESA et d’autres agences spatiales étudient déjà diverses solutions pour dévier la trajectoire des débris vers l’atmosphère : bras robot, pince géante, moteur fixé sur le débris, harpon ou filet de remorquage, voire un canon à ions bombardant l’objet pour infléchir sa course.

Mais dans le meilleur des cas, ces « missions de nettoyage » ne rentreront pas en service avant une dizaine d’années. « Les débris spatiaux présentent de nombreuses similitudes avec les déchets à la surface de la Terre ou dans les océans. Les prévisions sont entachées de nombreuses incertitudes, ce qui sert souvent d’excuse à une réaction tardive », déplore Heiner Klinkrad.

débris spaciaux  menaces imaginaires et réelles

suite du diaporama sur Rianovosti

 

Source : Nouvel Obs et Rianovosti

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Conquête spatiale : la Chine veut faire jeu égal avec les États-Unis

Trois « taïkonautes », dont une femme, ont été envoyés vers la station spatiale chinoise. Une démonstration de savoir-faire à destination des Américains.

Tir réussi le 11 juin pour ce vol habité qui doit durer 15 jours, le plus long de l'histoire spatiale chinoise.
Tir réussi le 11 juin pour ce vol habité qui doit durer 15 jours, le plus long de l’histoire spatiale chinoise. © China out/AFP

Et de deux ! Un an après avoir envoyé sa première femme dans l’espace, la Chine a donné aujourd’hui un nouveau coup de projecteur à son ambitieux programme spatial en faisant de Wang Yaping, une jeune taïkonaute de 33 ans, la deuxième Chinoise à voler en orbite autour de la Terre. Née en 1980, cette pilote de l’Armée de libération populaire (ALP) a pris place cet après-midi à bord du vaisseau Shenzhou-10 qui a décollé à 17 h 38 précises (11 h 38 heure de Paris) depuis la base de Jiuquan, située dans la province de Mongolie intérieure, au coeur du désert de Gobi.

Retransmis en direct à la télévision chinoise, le lancement s’est déroulé sans incident et sous les yeux du nouveau président chinois Xi Jinping, à peine rentré de son séjour californien et de sa rencontre avec Barack Obama. Après dix secondes de compte à rebours, la fusée Longue Marche 2F, sur laquelle était arrimé le vaisseau, s’est élevée droit dans le ciel bleu, laissant seulement derrière elle un grand nuage de feu et de poussière.

Station en orbite

Les détails de cette expédition, initialement prévue à la mi-juin, ont été rendus publics hier par Xinhua, l’agence de presse officielle. Depuis, la propagande ne tarit pas d’éloges sur la jeune taïkonaute, à la une des médias chinois ce matin. Issue d’un milieu modeste, entrée à seulement 17 ans dans l’armée chinoise, elle serait fan de basket, de photographie… et même capable de conduire quatre types d’avions différents.

Deux hommes effectueront avec elle ce vol spatial habité, le cinquième depuis 2003, et le plus long – 15 jours – jamais entrepris à ce jour par le dernier empire communiste, qui s’est depuis lors hissé au rang de seconde économie mondiale. « C’est un tir extrêmement important qui marque l’accomplissement de la première phase du programme spatial habité chinois », analyse Isabelle Sourbès Verger, géographe et chargée de recherche au CNRS. Car comme l’URSS dans les années 1970, mais contrairement aux États-Unis, la Chine a développé jusqu’à présent une « maison à deux pièces » comprenant une station en orbite, pour l’instant inhabitée, et un vaisseau spatial réutilisé après chaque aller-retour. « La deuxième phase, après 2015, consistera à faire vivre des hommes en permanence dans l’espace, ravitaillés par des vaisseaux qui assureront le renouvellement des équipages et du matériel », poursuit cette spécialiste de la politique spatiale chinoise.

Rendez-vous

Cette équipe a pour mission d’amarrer le vaisseau Shenzhou-10 au laboratoire spatial Tiangong-1, un module temporaire lancé en 2011 par la Chine et actuellement en orbite autour de la planète bleue. Cette technique, dite du « rendez-vous spatial », est essentielle, mais particulièrement difficile à réaliser. Les États-Unis et la Russie la maîtrisent depuis la course aux étoiles menée sous la Guerre froide, mais la Chine, qui a attendu 1998 pour entraîner ses premiers taïkonautes, doit encore apprendre à la réaliser parfaitement.

Le régime communiste avait réalisé avec succès son premier rendez-vous spatial en juin 2012, lors du quatrième vol habité, qui avait fait de Liu Yang la première femme chinoise à explorer la Voie lactée. Mais cette fois-ci, les choses pourraient être plus complexes, car deux manipulations doivent être effectuées : une manuellement, et une automatiquement, et sur plusieurs points d’ancrage. À bord de leur vaisseau, les taïkonautes doivent également effectuer des recherches scientifiques et des travaux de réparation sur le module Tiangong-1. Sans doute dans l’espoir de susciter des vocations, un cours de physique par vidéoconférence à destination d’élèves de primaire est aussi prévu.

Objectif Mars ?

Pour Pékin, ce voyage est donc surtout un exercice de routine destiné à tester sa maîtrise technique. Et cela d’autant plus qu’il pourrait s’agir du dernier avant la mise en orbite, prévue d’ici 2015, du nouveau module Tiangong-2. Exclue de la station spatiale internationale (ISS) par les États-Unis, la Chine a depuis le milieu des années 1990 développé sa propre recherche spatiale en multipliant les vols habités. Mais à ce stade, l’effort de Pékin – environ 4 milliards de dollars par an, le chiffre exact n’ayant jamais été divulgué – paraît toutefois minime par rapport à celui de Washington, qui consacre un montant neuf fois plus important. « Le programme spatial habité chinois a commencé officiellement en 1993, il a fallu dix ans à la Chine pour envoyer son premier homme dans l’espace en 2003, et dix nouvelles années pour y faire vivre trois cosmonautes pendant quinze jours » tempère Isabelle Sourbès Verger.

Il n’empêche, ce vol habité est aussi une façon pour la Chine de montrer au reste du monde qu’elle a désormais acquis des compétences qui la qualifieraient pour une exploration internationale à destination de la planète Mars. Près de 45 ans après le « grand pas pour l’humanité » de l’Américain Neil Armstrong, la Chine aurait en effet peu à gagner, tant politiquement que médiatiquement, à envoyer un de ses compatriotes sur la Lune. En revanche, sa participation à une expédition vers la planète rouge serait décisive pour démontrer aux États-Unis et à la Russie que l’espace est également son terrain de jeu.

Source : Le Point

Un trou dans le Soleil menace les communications en Europe de l’Ouest

Un trou dans le Soleil va produire de belles aurores boréales mais aussi perturber le fonctionnement des GPS et des téléphones portables.

Un trou coronal dans le Soleil
Un trou coronal dans le Soleil © Nasa / Sipa Press

Sur la vidéo du Solar Dynamics Observator, qui dépend de la Nasa, c’est comme s’il y avait un énorme trou au milieu du Soleil. En fait, il s’agit d’un trou coronal, c’est-à-dire une zone « froide », à faible densité de matière, située dans la zone atmosphérique de cet astre, selon ce service de l’agence spatiale américaine.

Le phénomène est assez esthétique mais ses conséquences sont plutôt négatives. Les trous coronaires engendrent des vents solaires très puissants dont les courants de particules voyagent à travers le système solaire jusqu’à notre planète.

Blackout éventuels dans les deux mois

La majorité des fois, ces orages magnétiques ne provoquent que des aurores boréales visibles surtout près du pôle nord. Cependant, parfois, elles entraînent une modification du champ magnétique qui engendrent des coupures électriques, comme en 1989 au Québec, et des perturbations dans les communications satellitaires.

Et c’est justement ce qui va se passer cette fois-ci dans les deux mois à venir. La Nasa annonce que ce gigantesque trou pourrait être à l’origine de plusieurs dysfonctionnements des GPS et des téléphones portables, ceux utilisant la 4G surtout. Et toujours selon la Nasa, c’est l’Europe de l’Ouest qui est principalement concernée.

Source : Le Point

La terre a commencé à osciller …

L’oscillation de Chandler , qui est bien connue,

Et une autre , qui est inconnue.


Commençons par l’oscillation de Chandler

Au départ , l’oscillation de Chandler est normale , et sa durée est de 14 mois.

Source = http://fr.wikipedia.org/wiki/Oscillation_de_Chandler

Cette oscillation est connue depuis 1891.

Source = http://en.wikipedia.org/wiki/Chandler_wobble

Voici une image qui nous montre l’oscillation de Chandler . Au début, l’oscillation est  parfaitement circulaire , puis plus tard l’oscillation devient de plus en plus erratique.

https://i0.wp.com/www.timstouse.com/images/ScienceNews/PoleShift04.gif

Voici une autre image , qui nous démontre que vers décembre 1998 , l’oscillation d’abord normale est devenue erratique.

https://i0.wp.com/www.timstouse.com/images/ScienceNews/PoleShift05.gif

L’influence sur le courant-jet , connu aussi sous le nom de jet stream

Voici une image du Jet Stream en été et en hiver , ce qui devrait être normal.

https://i0.wp.com/www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosclim1/motscles/Images/courantJet.gif

Une autre image …

https://i0.wp.com/wac.450f.edgecastcdn.net/80450F/nj1015.com/files/2013/03/polar_front_summer_winter1.jpg

Et voici un article qui explique que le Jet Stream est devenu erratique, au point de modifier le climat.

Notez que cet article date du 22 décembre 2010.

http://past.theweathernetwork.com … /news/storm_al__181210

Traduction Google de 2 passages :

Courant-jet causant conditions météorologiques anormales

22 décembre 2010 – Un combat inhabituel de temps déferle sur certaines parties du nord du Canada et en Europe, tout cela grâce à la jet-stream.

On prévoit que les conditions chaudes de persister à Terre-Neuve. « A bas rétrogradant apporte dans un front chaud backdoor. Cela permet inaugurer températures chaudes comme il rétrograde au sud … », explique Dayna Vettese, météorologue à MétéoMédia.

«Le creux du jet est également responsable de l’ important effet de lac neige qui a persisté pendant les deux dernières semaines dans le sud de l’Ontario », note fraîche.

Donc,

Les creux et les hauts de Jet Stream sont donc devenus extrêmes.

Une autre image :

http://sciencenotes.files.wordpress.com/2008/04/weather-2008-04-28-currentfronts.jpg

La différence entre un courant jet normal et actuel est évidente …..

https://i0.wp.com/wac.450f.edgecastcdn.net/80450F/nj1015.com/files/2013/03/polar_front_summer_winter1.jpg http://sciencenotes.files.wordpress.com/2008/04/weather-2008-04-28-currentfronts.jpg

Je peux en conclure que les creux et les hauts , en définitive les fluctuations exagérées du courant-jet sont les premiers responsables de la chaleur extrême de l’ouest américain et du froid causant de la neige dans l’est américain.

Mêmes phénomènes observés sur les continents européens et asiatiques. Il neige là ou cela ne devrait pas et il fait anormalement chaud à d’autres endroits.

Un peu de lecture – un article intéressant :

Hiver froid : la faute à la banquise arctique

http://www.lefigaro.fr/sciences-hiver-…

Contenu de cet article :

https://i0.wp.com/www.lefigaro.fr/medias/2013/03/28/PHOc2a778da-984d-11e2-b563-6cca552084d5-805x453.jpg

INFOGRAPHIE – Le réchauffement de l’océan Arctique pourrait faciliter les descentes d’air polaire sur l’Europe.

Le froid qui sévit dans le nord de la France depuis le début du mois de janvier et qui devrait encore se prolonger pendant plusieurs jours est-il lié au réchauffement climatique? Les épisodes neigeux exceptionnels qui ont balayé à plusieurs reprises le nord des continents américain et européen sont-ils, eux aussi, le résultat de l’augmentation globale des températures? Seules quelques équipes de climatogues avancent cette hypothèse. Leurs scénarios ne sont pas les mêmes, mais tous s’accordent sur le fait que la réduction de la banquise arctique depuis une quinzaine d’années est en train de modifier les hivers dans le nord de l’Europe, de l’Asie et de l’Amérique.

En 1979, début des mesures satellitaires, la glace couvrait environ 7 millions de kilomètres carrés d’océan durant l’été. En septembre 2012, ce n’était plus que 3,4 millions.

Bétail prisonnier de la neige

La réduction de la banquise arctique, qui atteint son maximum en septembre-octobre, accentue le réchauffement de l’océan Arctique. Ce dernier aurait pour effet de ralentir les vents en haute altitude qui tournent autour du pôle Nord, ce qu’on appelle le vortex polaire. «Si le vortex ralentit, l’air froid de l’Arctique peut plus facilement s’échapper et descendre vers les basses latitudes», explique Dim Coumou, de l’Institut de Potsdam (Allemagne).

Ce phénomène serait à l’origine des épisodes de grand froid et de fort enneigement qui ont marqué le mois de mars en Europe du Nord et sur le continent nord-américain. Records de froid en Belgique ou dans l’est de la France, jusqu’à 10.000 têtes de bétail prisonnières de la neige en Irlande du Nord, 25 morts en Pologne en mars avec des températures descendues jusqu’à – 24 °C la nuit…

La théorie est séduisante. «Le mécanisme est intéressant, mais, de là à dire qu’il est dû au réchauffement climatique, c’est aller un peu vite en besogne», estime Robert Vautard, du LSCE (laboratoire des sciences du climat et de l’environnement, CEA-CNRS). On n’a pas assez de recul pour avoir des données statistiques suffisantes et il faudrait ­faire des simulations massives sur plusieurs modèles. Les nouveaux scénarios du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), présentés en septembre prochain, n’indiquent d’ailleurs pas de modification radicale de la circulation atmosphérique en hiver dans l’hémisphère Nord.

Citation:

La météo de l’Europe de l’Ouest est beaucoup plus chaotique que celle de la Russie, par exemple, avec son climat continental

Pour le chercheur du LSCE, il n’est pas pensable de prévoir quel temps il va faire en mars en prenant seulement en compte l’étendue de la banquise au mois de septembre. La météo de l’Europe de l’Ouest est beaucoup plus chaotique que celle de la Russie, par exemple, avec son climat continental.

Elle dépend des différences de pression entre la dépression située autour de l’Islande et l’anticyclone des Açores, ce qu’on appelle l’oscillation nord-atlantique, plus connue sous le nom de NAO (North Atlantic Oscillation, en anglais).

En hiver, deux cas de figure (on parle de régime) peuvent se produire. Soit on est sous un régime de NAO négative (NAO -): les courants océaniques sont orientés vers le sud du continent et, dans ce cas, il fait froid au nord. Soit c’est l’inverse.Pour Robert Vautard, la situation actuelle n’a rien d’exceptionnel en dépit de températures plus fraîches de 0,3°C que la moyenne.

On est dans une situation de blocage sous un régime de NAO négative. «En 2010, il y avait eu un hiver très rigoureux. Or, en regardant de plus près, on avait vu que cet hiver était seulement le quinzième plus froid des soixante dernières années.» Cette année, le blocage donne toutefois l’impression d’être interminable, mais la situation actuelle est classique.Qu’on se rassure, l’Europe de l’Ouest n’est pas condamnée à un régime de NAO négative, souligne le chercheur. Dans les années 1990, il y a eu tout un groupe d’hivers doux en Europe du Nord. On était alors sous le régime d’une NAO positive, ce qui accentue sans doute notre impression de changement.

À un régime NAO négative fortement marqué s’ajoutent des descentes d’air polaire poussé par un autre courant moins connu: l’oscillation arctique. La grande question, c’est de savoir si ce phénomène va être ou non accentué par la fonte de la banquise, explique David Salas y Melia, de Météo France. Ce n’est pas la seule piste explorée. L’augmentation de température de l’océan Arctique pourrait accroître l’humidité et augmenter l’enneigement, qui, lui-même, pourrait accentuer le froid hivernal.

Dans le même ordre d’idées,

Voici une vidéo intéressante.

Voici une vidéo qui a été mise en ligne le 19 février 2013

Proof of earths axis change – Western USA will be warmer, europe colder!

Preuve du changement d’axe – l’ouest des USA sera plus chaud , l’Europe plus froid!

 

Lien direct http://youtu.be/3wrzj9EhrL8

Au début je mentionne une autre oscillation que celle de Chandler – une oscillation inconnue.

Voici de quoi il s’agit – je me servirai d’une photo du site de la NASA.

https://i0.wp.com/apod.nasa.gov/apod/image/0609/startrails11h_hambsch_f1.jpg

Je met le lien direct qui prouve que cette image est bien de la NASA

http://apod.nasa.gov/apod/image/0609/startrails11h_hambsch_f1.jpg

Et leur site

http://apod.nasa.gov

Explication de cette image :

Une photo de longue durée qui a en son centre l’étoile polaire doit absolument montrer les autres étoiles en cercles absolument ronds.

Or , cette image nous montre que les étoiles sont plus concentrées à la droite de l’étoile polaire, tandis qu’à la gauche de l’étoile polaire, les étoiles sont plus espacées.

Supposons que cette photo a 8 heures d’exposition.

Il faut donc que ce soit la terre qui se soit inclinée vers la gauche au cours de la prise de la photo.

Donc, la terre a vraiment commencé à osciller.

Elle oscille un peu , mais suffisamment pour qu’on constate le problème.

Conclusion :

Cette oscillation – faible , mais bien réelle – est le début.

Comparons cela à une déchirure dans une paire de jeans.

Elle ne se réparera pas tout seul – le temps va continuer déchirer le vêtement.

Il en est de même pour la petite oscillation de la terre.

Les semaines vont passer , les mois aussi et … l’oscillation sera de plus en plus évidente.

Cette photo du site de la NASA est bel et bien une preuve que quelque chose est commencé.

La terre a certainement commencé à osciller.

Esaïe 24:20

La terre chancelle comme un homme ivre, Elle vacille comme une cabane ; Son péché pèse sur elle, Elle tombe, et ne se relève plus.[…]

Une ancienne prophétie de la Bible qui commence à se réaliser ?

Source : Bengarno

Le manque de nourriture : un problème réel ou un prétexte de spéculation?

Cela semble paradoxal, mais malgré l’absence de la pénurie des vivres, un homme sur huit souffre toujours de la faim sur Terre. Selon les chiffres de l’ONU, un humain sur la planète dispose en moyenne de 152 kilos de céréales par an, soit 500 g chaque jour. Toutefois, selon ces mêmes chiffres, 870 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde. […] suite sur La voix de la Russie

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L’apocalypse spatiale qui touchera les quatre éléments, l’Eau, la Terre, le Feu et l’Air, menace notre planète, estiment les professeurs de l’Université de l’Extrême-Orient Alexandre Panitchev et Alexandre Goulkov. La nouvelle version de la fin du monde ne laisse aucune chance de survie à la Terre. Les experts ont exposé leur hypothèse dans le livre L’absolu et l’homme.

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Source : La voix de la Russie

Coca-Cola La Formule Secrète